« Il y a quelques inquiétudes, je dois l’avouer en tant qu’Africain. Il n’y a pas assez de mobilisation. L’inquiétude, c’est parce que le vaccin vient d’ailleurs. Voilà pourquoi il est nécessaire de viser la production des vaccins en Afrique. Je crois cela aura un impact sur l’attitude des populations. Les retombées économiques qui s’en suivront », a dit le Chef de l’Etat congolais.

Il a également insisté sur « les droits des propriétés intellectuelles, le droit de fabriquer les vaccins en Afrique ».

Depuis le début de la vaccination en RDC, le 19 avril 2021,  avec le vaccin AstraZeneca, 9.693 personnes ont été vaccinées jusqu’au 13 mai 2021.

« Il existe moins de 10 fabricants africains dans le secteur de la production de vaccins et ils sont basés dans cinq pays : l’Égypte, le Maroc, le Sénégal, l’Afrique du Sud et la Tunisie. Il y a une production en amont très limitée avec la plupart des entreprises qui ne se consacrent qu’à l’emballage et à l’étiquetage, occasionnellement au remplissage et aux étapes de finition des produits. Il est à noter qu’il existe environ 80 usines de produits stériles injectables sur le continent, ce qui peut représenter une opportunité pour la production de vaccins étant donné que le dosage posologique de base en Afrique est le flacon », explique le professeur William Ampofo, président de l’Initiative pour la fabrication de vaccins en Afrique.
Pour être complet, la vaccination contre la COVID-19 s’accélère en Afrique.  Plus de 7 millions de doses administrées jusqu’à présent, selon l’OMS, mais le continent n’est pas à mesure de répondre à ses besoins réels.

Pour rappel, l’Union africaine (UA) a lancé en avril un “partenariat pour la fabrication de vaccins africains” (PAVM) avec pour objectif de créer cinq pôles de recherche et de fabrication de vaccins sur le continent. L’objectif est de fabriquer localement, d’ici 20 ans, 60% des vaccins utilisés sur le continent, contre 1% actuellement.

Covid-19 en RDC : Félix Tshisekedi a plaidé à Paris pour la fabrication locale des vaccins

Au  Sommet sur le financement des économies africaines au Grand Palais Éphémère, à Paris, Félix Tshisekedi a plaidé pour la fabrication locale des vaccins contre le coronavirus. 

« Il y a quelques inquiétudes, je dois l’avouer en tant qu’Africain. Il n’y a pas assez de mobilisation. L’inquiétude, c’est parce que le vaccin vient d’ailleurs. Voilà pourquoi il est nécessaire de viser la production des vaccins en Afrique. Je crois cela aura un impact sur l’attitude des populations. Les retombées économiques qui s’en suivront », a dit le Chef de l’Etat congolais.

Il a également insisté sur « les droits des propriétés intellectuelles, le droit de fabriquer les vaccins en Afrique ».

Depuis le début de la vaccination en RDC, le 19 avril 2021,  avec le vaccin AstraZeneca, 9.693 personnes ont été vaccinées jusqu’au 13 mai 2021.

« Il existe moins de 10 fabricants africains dans le secteur de la production de vaccins et ils sont basés dans cinq pays : l’Égypte, le Maroc, le Sénégal, l’Afrique du Sud et la Tunisie. Il y a une production en amont très limitée avec la plupart des entreprises qui ne se consacrent qu’à l’emballage et à l’étiquetage, occasionnellement au remplissage et aux étapes de finition des produits. Il est à noter qu’il existe environ 80 usines de produits stériles injectables sur le continent, ce qui peut représenter une opportunité pour la production de vaccins étant donné que le dosage posologique de base en Afrique est le flacon », explique le professeur William Ampofo, président de l’Initiative pour la fabrication de vaccins en Afrique.
Pour être complet, la vaccination contre la COVID-19 s’accélère en Afrique.  Plus de 7 millions de doses administrées jusqu’à présent, selon l’OMS, mais le continent n’est pas à mesure de répondre à ses besoins réels.

Pour rappel, l’Union africaine (UA) a lancé en avril un “partenariat pour la fabrication de vaccins africains” (PAVM) avec pour objectif de créer cinq pôles de recherche et de fabrication de vaccins sur le continent. L’objectif est de fabriquer localement, d’ici 20 ans, 60% des vaccins utilisés sur le continent, contre 1% actuellement.

Au  Sommet sur le financement des économies africaines au Grand Palais Éphémère, à Paris, Félix Tshisekedi a plaidé pour la fabrication locale des vaccins contre le coronavirus. 

« Il y a quelques inquiétudes, je dois l’avouer en tant qu’Africain. Il n’y a pas assez de mobilisation. L’inquiétude, c’est parce que le vaccin vient d’ailleurs. Voilà pourquoi il est nécessaire de viser la production des vaccins en Afrique. Je crois cela aura un impact sur l’attitude des populations. Les retombées économiques qui s’en suivront », a dit le Chef de l’Etat congolais.

Il a également insisté sur « les droits des propriétés intellectuelles, le droit de fabriquer les vaccins en Afrique ».

Depuis le début de la vaccination en RDC, le 19 avril 2021,  avec le vaccin AstraZeneca, 9.693 personnes ont été vaccinées jusqu’au 13 mai 2021.

« Il existe moins de 10 fabricants africains dans le secteur de la production de vaccins et ils sont basés dans cinq pays : l’Égypte, le Maroc, le Sénégal, l’Afrique du Sud et la Tunisie. Il y a une production en amont très limitée avec la plupart des entreprises qui ne se consacrent qu’à l’emballage et à l’étiquetage, occasionnellement au remplissage et aux étapes de finition des produits. Il est à noter qu’il existe environ 80 usines de produits stériles injectables sur le continent, ce qui peut représenter une opportunité pour la production de vaccins étant donné que le dosage posologique de base en Afrique est le flacon », explique le professeur William Ampofo, président de l’Initiative pour la fabrication de vaccins en Afrique.
Pour être complet, la vaccination contre la COVID-19 s’accélère en Afrique.  Plus de 7 millions de doses administrées jusqu’à présent, selon l’OMS, mais le continent n’est pas à mesure de répondre à ses besoins réels.

Pour rappel, l’Union africaine (UA) a lancé en avril un “partenariat pour la fabrication de vaccins africains” (PAVM) avec pour objectif de créer cinq pôles de recherche et de fabrication de vaccins sur le continent. L’objectif est de fabriquer localement, d’ici 20 ans, 60% des vaccins utilisés sur le continent, contre 1% actuellement.

Jeff Kalala