La confrontation entre la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA) et sa consoeur gabonaise, dans l’affaire Guelor Kanga, n’a eu lieu ce lundi 24 mai comme prévue. Selon la FECOFA, que nous avons contactée, seule elle a plaidé pour sa cause devant la Commission du Jury Disciplinaire de la Confédération Africaine de Football (CAF), sans sa consoeur gabonaise, qui « n’était pas prête » d’après la CAF alors qu’elle était la 1ère à communiquer sur cette date. 

Il faudra attendre jusqu’à ce que la partie gabonaise réponde pour connaître la suite et le délai n’a pas été donné.

En effet, Guelor Kanga, dont la mère est décédée en début de l’année 1986, 4 mois après la naissance du joueur, pour atterrir à Oyem et donner naissance à un enfant en septembre 1990. Dans le dossier gabonais, l’acte de naissance présenté est sujet à caution parce que le code civil gabonais n’est pas véritablement précis en ce qui concerne l’octroi de la nationalité gabonaise qui est normalement donnée selon les conditions reprises dans le Code national de 1998. Il faut avoir moins de 21 ans alors qu’à son arrivée au Gabon, Kiaku Kiaku Kiangani avait au-delà de 21 ans et n’était plus éligible pour ce faire.

Selon d’autres informations à notre possession, visiblement Guelor Kanga n’aurait pas bénéficié de la nationalité gabonaise par adoption visiblement, ce que la Fegafoot a du mal à prouver, d’où peut être ce énième report pour lui donner un temps de répit. Et sur ce point, il n’est que logique que la Fegafoot balbutie.

Selon d’autres informations à notre possession, visiblement Guelor Kanga n’aurait pas bénéficié de la nationalité gabonaise par adoption visiblement, ce que la Fegafoot a du mal à prouver, d’où peut être ce énième report pour lui donner un temps de répit. Et sur ce point, il n’est que logique que la Fegafoot balbutie parce que les textes du code civil gabonais sont clairs. Nulle part il octroie la nationalité gabonaise.     

Jeff Kalala