Ils ont longtemps fleurté ensemble et jamais ils ne pouvaient s’imaginer de monter le même ring pour en découdre à cause d’un conflit d’intérêt politique. Les deux chefs des corps ont choisi de porter leur malentendu à la place publique. Chacun cherchant à tout prix à disposer d’un certain niveau de contrôle la haute cour, s’indique LE JOURNAL.
Bahati son candidat, Mboso son candidat La bataille pour la désignation du juge de la Cour constitutionnelle au Parlement vient altérer systématiquement l’autorité de la haute cour lorsqu’on sait que les premières mises en place furent langoureusement dénoncées par des spécialistes du droit constitutionnel congolais conclut le tabloïd.

De son côté le quotidien L’AVENIR mentionne le Sénat avait déjà désigné son candidat, le sénateur Louis Mbonga pour remplacer le juge décédé Mongulu Tapangane, grande sera la surprise à la chambre haute d’apprendre que le caucus des députés nationaux du Grand Équateur a proposé un autre candidat en la personne de Léon Mondole, semant ainsi la confusion sur ce dossier Le bon sens voudrait que seul le Sénat désigne le juge qui doit remplacer le juge décédé, dès lors que ce dernier était issu de la haute chambre.

La PROSPERITE s’interroge en écrivant que les deux personnalités politiques de la RDC, les deux présidents de deux Chambres sœurs du parlement, de surcroit, Coordinateurs de l’Union sacrée de la nation qui incarne la vision du Chef de l’Etat, sont en désaccord total quant à la question de la désignation d’un juge à la Cour Constitutionnelle devant remplacer Polycarpe Mongulu passé de vie à trépas il y a peu. La guerre des correspondances est d’ores et déjà lancée.

Le POTENTIEL ajoute pour sa part que cet imbroglio visiblement voulu, seul le chef de l’État, en sa qualité de ” garant du bon fonctionnement des institutions “, peut jouer à l’arbitre pour que l’intérêt supérieur de la République soit préservé.

Merci de l’attention

Hope Kalumba