Tout en félicitant la CENI pour le travail abattu, selon lui, en conformité avec les lois du pays, le président national de la NOGEC déplore tout de même ce qu’il qualifie du juridisme creux propagé abusivement dans l’opinion pour défendre l’indéfendable au mépris des lois qui régissent toute une nation.
Constant Mutamba n’y va pas par quatre chemins, “Samy Badibanga mérite d’être poursuivi pour usurpation de nationalité, car il avait menti aux services qu’il avait renoncé à sa nationalité belge.”
Que ça soit pour les candidats à la présidentielle mais aussi pour ceux aux législatives, le patron de NOGEC indique qu’une fois qu’on a perdu sa nationalité d’origine par l’acquisition d’une étrangère tel que prévu par la loi en RDC, pour se prévaloir la qualité d’éligibilité à la magistrature suprême, l’on devra notamment procéder par le recouvrement par ordonnance du chef de l’État ce qui n’a pas été le cas pour tous les candidats invalidés par la CENI pour double nationalité, y compris Samy Badibanga .

En outre Constant Mutamba, estime qu’il n’y a pas débat autour de la candidature invalidée de Jean Pierre Bemba, car au-delà d’être un produit manifeste des impérialistes pour mettre en mal le régime de Kinshasa. Il est visiblement coupable de subornation des témoins qui rime avec la corruption.

Le No1 de la NOGEC n’a pas cessé de rendre hommage au chef de l’État Joseph Kabila ,qu’il considère désormais comme père de l’alternance après avoir accepté de respecter la constitution à la fin de ses deux mandats constitutionnels.
Ainsi demande t’il aux uns et aux autres de se conformer à la loi, seule voie idéale pour bâtir un État de droits. a donc ajouté Constant Mutamba.

Jean Paul Mubiayi

 

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