La deuxième journée des travaux de la COP26, essentiellement consacrée au domaine forestier, n’aura pas été de tout repos pour le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. En témoignent les nombreuses sollicitations dont le premier citoyen congolais a été l’objet de la part des organisateurs.

Intervenant dans le cadre du panel de Haut niveau sur les forêts et l’utilisation des terres organisé par le gouvernement britannique, le Président de la République démocratique du Congo, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, s’est livré à un véritable plaidoyer sur la prise en compte des atouts naturels dont regorge son pays dans le processus d’atténuation des émissions des gaz à effets de serre, actuellement au cœur d’un enjeu planétaire.

Le Chef de l’Etat congolais qui est intervenu sur cette tribune aux côtés du président américain Joe Biden, du Premier Ministre britannique, Boris Johnson (UK), ainsi que du Président Ali Bongo, a martelé sur la préservation du bassin du Congo.

Une dizaine de pays et le Fonds Bezos pour la Terre ont, dans la foulée, manifesté leur engagement à l’égard de ce grand massif forestier en annonçant une contribution collective d’au moins $1.5 milliard de financement entre 2021 et 2025 visant à maintenir les forêts de cette région, les tourbières ainsi que les autres réserves de carbone, essentielles pour la planète.

Autre temps fort de cette deuxième journée des travaux de la COP26 aura été la signature, par le Président Félix Tshisekedi et le Premier Ministre Boris Johnson du Royaume-Uni au nom du Conseil d’administration de l’Initiative pour la Forêt de l’Afrique centrale (CAFI), d’un engagement ambitieux d’une durée de 10 ans (2021-31) pour la protection de la forêt de la RDC, deuxième plus grande forêt tropicale du monde.

Globalinfos.net/Cellcom/ Présidence