La ville de Lubumbashi connaît une multiplicité des stations services au centre-ville, dans les autres communes et certains quartiers … Il est impossible de parcourir 200 mètres sans croiser cette activité. A ces jours les stations sont construites à côté des maisons résidentielles, des certains bureaux, restaurants etc. Ces maisons, bureaux, restaurants se trouvant à proximité des stations courent un très grand danger surtout en cas d’incendie.

Tout d’abord nous devons premièrement connaître le but d’une station . Une station doit relier un point X à un point Y; dans les pays étrangers on retrouve très peu de station en ville ; très souvent ça se trouve sur les lignes nationales . 

Pourquoi est ce que au Congo on retrouve des stations un peu partout ? C’est sans doute parce  que l’humain congolais pense que c’est un Busness rentable ;

L’inconvénient de mettre une station près des maisons d’habitation ; c’est qu’en cas d’incendie ceux qui sont dans les parages peuvent être victimes ; parce que l’incendie peut aller jusqu’à 25m carré dans tous les sens. Dans plusieurs parties de la ville de Lubumbashi nous retrouvons des stations côte à côte, cas de la station Global oil se trouvant sur Kasavubu et Kimbagu, station GPM et Petrosil se trouvant au quartier golf météo 1 sur la route Munua et Mwela etc.

En ce qui concerne la distance entre une maison  et une station essence ; là tout dépendra de l’étendue d’un quartier à un autre

D’abord du point de vue environnemental, les normes d’établissement des Stations ne sont pas respectées. Les Stations doivent être construites loin des maisons d’habitation. Ce qui n’est pas le cas ici chez nous, car  y a pas respect des normes environnementales. Cette multiplicité des Stations d’essence dans notre ville est un grand risque d’incendies à grande échelle pouvant causer des dégâts matériels énormes et des pertes en vies humaines. Normalement, la distanciation entre une station d’essence et les maisons d’habitation doit être d’au moins 2km (2000m)“. Nous explique un expert( anonyme)

Josephine Aloma