La presse congolaise évoque ce matin la question de la rentrée parlementaire en RDC. D’abord ECONEWS parle de la rude épreuve de loyauté et de respect à l’Union sacrée de la nation. Motion contre Christophe Mboso à l’Assemblé nationale, Modeste Bahati acculé au Sénat, projet de révision de la Constitution, ça va chauffer au sein de l’Union sacrée en cette session parlementaire de mars. Selon ce journal, l’Union sacrée de la nation surmontera cette montagne russe que le FCC, en son temps, n’a pas su franchir, jusqu’à se plier à l’alternance démocratique au terme de la présidentielle de décembre 2018. Difficile à prédire. Les trois mois de la prochaine session parlementaire promettent bien de surprises.

De son côté, TEMPÊTE DES TROPIQUES rapporte que la session de mars 2022 pourrait, à certains égards,  devenir une session de grands enjeux politiques. Tous les yeux sont, en effet, braqués sur le Bureau de l’Assemblée nationale, présidé par Christophe Mboso N’Kodia Pwanga et composé sur base d’appartenance politique. Pour ce tabloïd, l’exclusion et la radiation de Jean-Marc Kabund de l’UDPS suscitent des interrogations au sein de l’opinion qui se demande sur quelle base cette personnalité va continuer à exercer ses fonctions de premier vice-président du Bureau de la Chambre basse du Parlement congolais.

LA PROSPÉRITÉ annonce de son côté que les ambassadeurs de la RDC sont derrière la vision de Félix Tshisekedi pour une diplomatie au service du développement et de la paix.

Dossier Francois Beya, FORUM DES AS revient sur la déclaration des défenseurs des droits de l’homme qui plaident pour la libération de François Beya : Avant d’occuper de hautes fonctions au sein de l’appareil sécuritaire, il est et reste un citoyen congolais dont les droits sont garantis, tant par la Constitution que par les lois de la République ainsi que les outils internationaux dûment ratifiés par le pays.

Fin de cette revue de presse et au prochain numéro.

Hope Kalumba