Le FC Saint Éloi Lupopo a été éliminé en coupe de la CAF en phase des groupes après avoir été classé 3e de sa pool. Perdant ses matchs de la même manière et presque dans les mêmes instants. La mauvaise gestion des matchs est le point négatif noté en phase des groupes. Incompréhensible ou simplement inacceptable ! Le FC Saint Éloi Lupopo est passé à côté des victoires presque de la même manière en cette phase des groupes de la coupe de la CAF. Les scénarios répétitifs et presque identiques, ont coûté cher au club cher à Jacques Kyabula katwe.

L’entame de la phase des groupes catastrophique de Lupopo avec une défaite face à l’ USM Alger, lors de la première journée 0-3 n’a pas permis au club de de Bein négocier la suite. Les cheminots espèrent revenir fort à domicile dans leur Levy Mwanawasa stadium en Zambie. Dommage car les choses tournent à l’envers, ils s’inclinent 1-2. Kabangu est l’unique buteur côté Lumpa, après deux buts pris en première période. La crise des résultats fait naître des doutes quant à la suite. Mais le malien Magassouba lui y croit. Et reste très confiant. Il remobilise les troupes et gagne petitement face aux libyens d’Al-Akhdar Sport Club (1-0) Emmanuel Bola redonne le sourire. 3 points sur 9.

Lupopo tel collé par une poisse du zombo le soir dans toute la manche retour. Son déplacement à Benghazi est moins satisfaisant. Les protégés de Mohamed Magassouba mène au marquoir dès la 8e minute grâce à Horso Mwaku qui a fait ses premiers pas sur le continent, Boakye 90+1′, remet le pendule à l’heure. Bien que le point du nul est pris, le regret est profond.

Il faut prendre la revanche devant l’USM Alger à Ndola, mais la mauvaise gestion du match des cheminots se répète. L’ancien de tshinkuku Mwaku 72e ouvre le score, à la 90e les algérois égalisent. Le pire, l’enfer, se vit quand Lupopo mène par 2-0 en Afrique du sud contre Marumo. Mais dans un espace des 5 minutes Lupopo assiste à son enterrement en C2. Réduction, égalisation puis la remontada. La poisse qui colle Magassouba et sa bande se confirme.

Aux cheminots d’y travailler dès maintenant…

Michael Patient