Les examens d’État édition 2021 vont débuter ce lundi à travers le pays. Pendant quatre ans, les finalistes seront soumis aux différentes épreuves pour évaluer leur niveau avant la fin de leur cursus.

C’est dans ce cadre que la direction provinciale de l’observatoire de la surveillance de la corruption et de l’éthique professionnelle (OSCEP) de la province de l’Equateur située dans la partie l’ouest du pays, promet aux chefs d’établissements, les élèves candidats finalistes et autres commissions, de dénoncer toutes formes de tracasseries, corruption et tricherie pendant les épreuves de l’examen d’Etat édition 2021 qui débutent de ce lundi 30 Août courant sur toute l’étendue du territoire national.

C’est ce qu’a dit son directeur, Taylor Lompuku Mpela à la presse, à quelques heures de ces épreuves nationales pour l’éradication des anti-valeurs qui gangrènent le secteur éducatif.

Puisque tout est prêt, l’OSCEP invite les élèves finalistes, les parents d’élèves ainsi que tous ceux qui sont concernés par l’organisation de ces épreuves national dans la province de l’équateur, d’être serein et de n’est pas cédé à la panique, ni à la tricherie au cours de ces épreuves de l’examen d’Etat. Les élèves doivent éviter de compter sur d’autres personnes qu’eux même“, explique, à la presse, Taylor Lompuku Mpela.

Et de poursuivre :

L’OSCEP attire l’attention des chefs établissements, les chefs des Centres et tous les élèves candidats finalistes , il promet de dénoncer en cas de fraude de la part des chefs de centres et toute la commission de passation mis en place. Les bruits courent qu’il y a les écoles où les préfets trompent les enfants pour cotiser l’argent à remettre aux chefs des Centres pour favoriser la fraude massive.
L’OSCEP invite les élèves finalistes à dénoncer tous les actes d’anti-valeurs auxquels ils font face.

Conformément à ses prérogatives, Taylor Lompuku Mpela souligne que l’OSCEP assure la prévention contre les anti-valeurs et autres pratiques contre l’éthique professionnelle. C’est pourquoi il met en garde les chefs d’établissements qui tenteront de percevoir les frais au taux supérieur à celui de 65.000 Francs Congolais fixé par l’arrêté du gouverneur de province de l’équateur.

Mpandanjila Mukuna