Débutons cette revue de presse par 7SUR 7.cd qui titre à sa Une : désignation des animateurs de la CENI, le conseil des évêques oecuméniques souhaite que le nombre de confessions religieuses passe de 8 à 20.

Forum des As titre à son tour cite : Abbé N’Shole, Denis Kadima est un candidat porté par les politiques. C’est une candidature qui a été accompagnée de tentatives de corruption.

L’Avenir s’intéresse aux aveux de l’abbé Donatien Nshole, secrétaire général de la CENCO, qui a reconnu l’échec enregistré lors de l’ultime round de négociations entre les confessions religieuses pour désigner un candidat consensuel a la présidence de la centrale électorale. Nous avons échoué. C’est vraiment une triste réalité manipulée par les politiciens. Ça nous pousse à réfléchir pour l’avenir. On ne peut accepter que le pays soit bloqué autour d’un nom, dit-il, selon ce tabloïd.

La Tempête des Tropiques annonce que dans les rangs des religieux, le dernier mot revient au Président de l’Assemblée nationale qui leur avait accordé 72 heures ultimes de plus. A Christophe Mboso, insiste le quotidien, de fixer la suite, conformément bien entendu, aux dispositions légales en la matière. Divisé en deux blocs, d’un côté le duo CENCO et ECC et de l’autre « le groupe de six », ces hommes de Dieu campent chacun sur sa position. Ce qui met en mal le processus électoral qui semble être pris en otage par ces confessions.

La Prospérité publie une correspondance d’un internaute, adressée à ce candidat : « La candidature, à la présidence de la CENI, de Denis Kadima, expert incontesté, divise la classe politique congolaise et risque de compromettre l’ensemble du processus électoral. A sa place, pour débloquer la crise, je retirerais ma candidature, dans l’intérêt supérieur du pays.

Fin de la revue de presse et merci de l’attention.

Hope Kalumba